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Gustave Roussy
114, rue Édouard-Vaillant
94805 Villejuif Cedex - France

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Urgences

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GUSTAVE ROUSSY
1er centre de lutte contre le cancer en Europe, 3 000 professionnels mobilisés

IGR 3210

Le traitement par immunothérapie (traitement visant à stimuler le système immunitaire à lutter contre la tumeur) a démontré une efficacité parfois très importante dans un certain group des tumeurs triples négatives en situation avancée (c’est-à-dire dans le cas de métastases), mais aussi quand la tumeur est localisée, avant une chirurgie.

Néanmoins, à date d’aujourd’hui nous ne sommes pas encore en capacité d’identifier les tumeurs qui vont plus bénéficier de ce traitement et pour autant éviter utilisation d’autres traitements plus toxiques comme la chimiothérapie.

CSET 3632

Etude de phase 1/2, en ouvert, non randomisée portant sur l’IMC‐F106C chez des patients HLA-A*02:01‐positifs atteints de cancers avancés PRAME positifs.

Cette étude est conçue pour évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique, l’immunogénicité, la pharmacodynamique et l’activité antitumorale de l’IMC-F106C, une immunothérapie, en monothérapie et en association avec un inhibiteur de point de contrôle immunitaire, une chimiothérapie ou une autre molécule immuno-mobilisatrice.

L’IMC-F106C est administré par voie intraveineuse toutes les semaines.

 

CSET 3595

Le traitement standard des patients atteints d’un séminome de stade IIa/b, après orchidectomie, est une radiothérapie étendue lombo-aortique/iliaque homolatérale. La réalisation d’une chimiothérapie par 3 cures de BEP (bléomycine-étoposide-cisplatine) ou 4 cures d’EP (étoposide-cisplatine) est une alternative. Le choix optimal du traitement reste controversé car les deux modalités de traitement sont associées à une excellente efficacité mais également à des toxicités aiguës et tardives. Des stratégies de désescalade thérapeutique (i.e.

CSET 3600

Le gédatolisib est un double inhibiteur puissant et réversible qui cible sélectivement la PI3K et la mTOR et peut restaurer la sensibilité à l'endocrinothérapie et prolonger la survie sans progression chez les patientes atteintes d'un cancer du sein avancé HR-positif, HER2-négatif, ayant précédemment reçu une endocrinothérapie. L’objectif premier est de comparer l'efficacité, mesurée par la survie sans progression, du gedatolisib en association avec le palbociclib et le fulvestrant.

CSET 3607

Etude de première administration chez l’homme d’un nouveau traitement oral inhibiteur ciblant les voies de croissance tumorales EGFR/HER2 chez des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules en stade avancé.

CSET 3552

Rationnel
Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est de loin la principale cause de mortalité liée au cancer dans le monde. Un traitement ciblé contre les gènes oncogènes a émergé pour améliorer l’issue du CPNPC avancé ROS positif. Le talétrectinib (inhibiteur de ROS1,) a montré un effet cliniquement significatif et un bon profil de sécurité d’emploi dans des études de phase I et a le potentiel d’améliorer la survie sans progression (SSP). Il a été approuvé pour le traitement du CPNPC ROS1 positif aux États-Unis, au Japon et dans des pays d’Europe

IGR 3339

Dans environ 10% des cas de cancer du rectum, la maladie est localement avancée au moment du diagnostic et nécessite un traitement dit « néoadjuvant », associant chimiothérapie et radiothérapie avant l’opération. Ce traitement diminue le risque de récidive locale ou métastatique du cancer. Toutefois, pour environ 25% de ces patients, la maladie réapparait dans les 3 ans suivant la chirurgie, malgré le traitement néoadjuvant.

CSET 3622

Certains modulateurs de l'angiogenèse, agissant en particulier sur le VEGF, pourraient être utilisés en combinaison avec diverses stratégies immunothérapeutiques pour potentialiser l’infiltration des cellules immunitaires et l'administration de médicaments anticancéreux dans les tumeurs.

Chez l’enfant, l'objectif de cette étude de phase I est d'identifier la dose recommandée pour l'étude de phase II de spartalizumab (immunothérapie) en association avec une dose diminuée de pazopanib (VEGFR).

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