Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Il s’agit d’une étude d’une étude nationale multicentrique, randomisée, stratifiée, réalisée en ouvert, ayant pour but de comparer la reconstruction mandibulaire (RM) avec ou sans planification virtuelle préopératoire (PVP) chez des patients atteints d’un cancer de la cavité buccale ou de l’oropharynx.
Étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, portant sur le SY-1425 plus azacitidine versus placebo plus azacitidine chez des patients adultes atteints d'un Syndrome Myélodysplasique de Haut Risque, nouvellement diagnostiqués et RARA positifs
Etude s’adressant à des patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire (ou du péritoine, ou des trompes de Fallope) avancé opérées d’emblée avec une chirurgie complète. Elles sont incluses dans l’essai avant de démarrer la chimiothérapie. Elle sont randomisée après un premier cycle de chimiothérapie par Carboplatine et Taxol, entre soit
5 cycles de Carboplatine et Taxol suivis d’une maintenance par
L’objectif de cette étude se propose de déterminer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’association de deux immunothérapies, dont l’une le PEMBROLIZUMAB est dès à présent autorisé dans certaines indications, et l’autre, le VIBOSTOLIMAB, est un anticorps offrant un nouveau mécanisme de lutte contre la maladie. Les deux médicaments sont proposés en coformulation dans cet essai sous la dénomination : MK-7684A.
Actuellement, il existe peu d’options thérapeutiques pour nos patientes avec un cancer du col ou de l’utérus en progression après une chimiothérapie à base de platine. Les immunothérapies ont montré des résultats très encourageants mais ne sont pas disponibles en France. L’essai GYNET évalue un nouveau médicament, le NP137, qui vise à augmenter la mortalité des cellules de cancer sous traitement par chimiothérapie, immunothérapie ou les 2 ensemble.
Le cancer de l’ovaire est un cancer rare, qui touche les femmes le plus souvent autour de 65 ans. Il en existe plusieurs catégories, selon le type de cellules présentes à l’endroit où la tumeur prend naissance. Le cancer de l’ovaire peut envahir les tissus voisins et aussi développer des métastases dans d’autres parties du corps.
Le traitement du cancer de l’ovaire repose en général sur la chirurgie et la chimiothérapie.
Votre maladie est très sensible à l’hormonothérapie que souhaite vous prescrire votre médecin (ou que vous recevez déjà). C’est donc un traitement de référence dans votre pathologie.
C’est cependant une maladie rare et on n’a pas encore déterminé le temps optimal de durée de traitement.
Même si ces traitements en comprimés ou injections intramusculaires sont assez bien tolérés, ils peuvent donner des effets secondaires à long terme (déminéralisation osseuse, douleurs articulaires par exemple).
Le standard de traitement en première ligne pour un cancer du sein HER2 positif métastatique est l’association Taxane-Trastuzumab-Pertuzumab. Le traitement par trastuzumab-pertuzumab est ensuite poursuivis en entretient sans limite de durée, une majorité de patientes reçoivent ce traitement plusieurs années. Dans environ 10% des cas, des métastases cérébrales peuvent survenir probablement car le traitement diffuse moins bien au niveau cérébrale (barrière hémato-encéphalique).
Le traitement par immunothérapie a démontré une efficacité dans certains cas de cancer du sein, notamment triple négatif et avec expression HER2. Malheureusement, le pourcentage des patientes qui bénéficient d’un tel traitement est faible. Des études avec des patientes avec un cancer du sein plus avancé ont observé que la combinaison d’une immunothérapie avec des thérapies ciblées peut augmenter le bénéfice et la sensibilité de la tumeur à un traitement par immunothérapie.