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Gustave Roussy
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94805 Villejuif Cedex - France

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Urgences

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GUSTAVE ROUSSY
1er centre de lutte contre le cancer en Europe, 3 000 professionnels mobilisés

CSET 3378

Le TAS2940 est un nouvel inhibiteur d’EGFR et d’HER2 à large spectre.

Il pourrait être efficace dans les tumeurs présentant des anomalies sur ces gènes.

La première phase de l’étude consistera à augmenter graduellement la dose jusqu’à définir la dose la plus efficace avec une toxicité tolérable.

Ensuite, 4 groupes de patients seront traités avec la dose retenue. Ces patients devront présenter par exemple des cancers du sein exprimant HER2, des cancers du poumon avec mutation EGFR (exon 20) ou HER2 (exon 20), des glioblastomes avec amplification EGFR.

CSET 3349

Il s’agit d’une étude clinique chez des patients atteints d’un lymphome et de tumeurs solides à un stade avancé (cancer urothélial, cancer de l'ovaire à cellules claires, cancer de l'endomètre, mésothéliome et cancer de la prostate), déjà traités par un traitement standard et dont la maladie est en progression. Il s'agit d'une étude de phase 1/2, ce qui signifie que le CPI-0209 (médicament expérimental) est encore dans les premières phases de test et d'évaluation chez l'homme.
 

CSET 3333

Le GEN1047 (DuoBody®-CD3×B7H4) est un anticorps bispécifique (bsAb) qui induit une cytotoxicité médiée par les lymphocytes T, au niveau des cellules B7H4 positives en se liant au cluster de différenciation CD3 exprimé par les lymphocytes T et au B7H4 exprimé par les cellules cibles. La molécule de régulation immunitaire B7H4 est exprimée dans divers cancers solides.

CSET 3141

L’ABBV-151 est une immunothérapie bloquant la libération de TGF-β1 actif, composé qui freine la réaction immunitaire. L’ABBV-181 est une immunothérapie bloquant PD1 ; classe de médicaments ayant déjà prouvé son intérêt dans les mélanomes, les cancers du rein, les cancers ORL, les cancers du poumon… On suppose que la prévention de la libération de TGF-β1 permette une réponse immunitaire anti-tumorale plus efficace.

CSET 2493

Cette étude de phase 1b/II concerne des patients atteints de cancer de la prostate avancé, dit métastatique résistant à la castration.

Cette étude évalue une immunothérapie, le pembrolizumab un anticorps anti-PD-1, en association avec des traitements standards ou innovants utilisés chez les  patients avec un cancer de la prostate.

CSET 3428

En France, environ 10% des patients atteints de cancer de la prostate présentent d’emblée une atteinte d’autres organes (métastases). Chez ces patients le traitement standard repose sur la privation androgénique (les hormones masculines), le plus souvent sous forme de médicaments injectables, associés à d’autres traitements (chimiothérapie et/ou comprimés d’hormonothérapie de nouvelle génération).

CSET 3359

Les carcinomes rénaux de type papillaire sont la seconde forme de cancer du rein  par ordre de fréquence.  Lorsque la maladie s’est développée au stade métastatique, c’est-à-dire propagée  en dehors du rein à d’autres organes, les traitements envisagés sont classiquement ceux  utilisés dans la forme la plus classique des cancers du rein (les carcinomes à cellules claires).

Cependant, il est souhaitable de pouvoir proposer la participation à un protocole spécifique aux carcinomes papillaires afin de développer des traitements adaptés à ce type de tumeur.

CSET 3306

En cas d’échec des traitements standards par hormonothérapies (incluant notamment l’abiraterone ou l’enzalutamide) et une chimiothérapie employant un taxane, le docetaxel, les options de traitement pour les hommes atteints de cancer de la prostate avec des métastases deviennent plus limitées. Parmi celles-ci, on compte notamment l’emploi d’une autre chimiothérapie, le cabazitaxel et chez des patients présentant des anomalies moléculaires spécifiques dans leur tumeur, des traitements particuliers (« inhibiteurs de PARP » ou chimiothérapie par le carboplatine).

CSET 3162

Les patients opérés d’un cancer de prostate peuvent voir leur marqueur sanguin PSA ré-augmenter après la chirurgie, surtout s’ils présentent sur la pièce opératoire des facteurs de risque de gravité (comme un type histologique plus agressif, la présence d’une sortie de la prostate sur la pièce opératoire, un temps de doublement rapide du PSA…).

IGR 3139

La chimiothérapie à haut dose est un traitement efficace dans le 30-70% des patients atteints d’une tumeur germinale qui a progressé après une chimiothérapie à base de sel de platine. Vu que cette maladie est usuellement diagnostiquée avant l’âge de 40 ans, les hommes qui guérissent après ce traitement ont une espérance de vie de 30-50 ans. Les effets secondaires à long terme et les conséquences physiques et émotionnelles peuvent donc avoir un impact significatif sur la vie quotidienne.

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