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Sylvain Ducroz est diplômé de l'Institut d'études politiques (anciennement Sciences-Po) de Paris en 1998 et de l'École nationale de santé publique (aujourd'hui l'École des hautes études en santé publique, EHESP) en 2000.
Phase 1b pour tester la combinaison du BI907828 avec l’Ezabenlimab (BI754091) sur différents types de tumeurs solides ayant progressées après au moins une 1ere ligne de traitement.
Patients randomisés en fonction de leur type de tumeur et recevront tous le même traitement. Cohorte 1 sur les sarcomes des tissus mous présentant un TP53 non muté. Cohorte 2 sur différentes tumeurs solides (poumon à non petite cellule, voies biliaires, gastrique et urotheliale) présentant un TP53 non muté et une amplification du gene MDM2.
Cet essai a pour objectif d’évaluer la tolérance, les premiers signaux d’efficacité et la dose recommandée de BI 1831169 (un virus oncolytique) en monothérapie et en association avec l’ezabenlimab (immunothérapie anti-PD-1) administré par voie intraveineuse et intratumorale chez les patients présentant des tumeurs solides en stade avancé ou métastatique.
Essai randomisé de phase I/II en ouvert visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’activité clinique de combinaisons d’immunoradiothérapie pour le traitement de patients atteints de tumeurs solides métastatiques
L’objectif de cette étude est d’évaluer si une immunothérapie (le GEN1042 avec ou sans pembrolizumab) en association avec une radiothérapie entraîne une régression tumorale ou une disparition des lésions non irradiées chez des patients atteints de tumeurs solides métastatiques.
Le bémarituzumab est un anticancéreux en cours de développement et est le premier anticorps monoclonal humanisé, non fucosylé, de type IgG1 dirigé contre le FGFR2b.
Le TNG908 est une petite molécule inhibitrice, puissante et sélective de la PRMT5, administrée par voie orale, qui se lie à la MTA. Des concentrations élevées de MTA se trouvent dans les cellules tumorales ayant perdu le gène MTAP, ce qui traduit l’excellente spécificité du TNG908 pour les cellules tumorales ayant perdu la MTAP par rapport aux cellules tumorales normales qui présentent une expression intacte du gène MTAP.
Objectif :
Principal - Phase 1 : Déterminer la dose maximale tolérée (DMT) et le
CIAG933A12101 est un essai évaluant l’IAG933, nouveau médicament bloquant l’action de deux protéines permettant la croissance incontrôlée de certaines cellules tumorales
Les travaux du laboratoire Novartis ont montré que cette molécule pourrait être particulièrement utile pour des cancers tel le mésothéliome, ou des cancers présentant des mutations particulières de gènes appelés NF2, LATS1, LATS2 et YAP/TAZ.
La radiothérapie prostatique présente peut entraîner des effets secondaires au niveau digestif, notamment la rectite radique. Celle-ci s’exprime par des douleurs rectales, des saignements rectaux (rectorragie), voire d’autres symptômes digestifs, notamment l’incontinence anale. Il existe un lien clair entre la dose reçue par le rectum et l’apparition de ces symptômes. De fait, réduire la dose au rectum par la mise en place d’un espaceur rectal pourrait diminuer ces effets secondaires.