UMR 1018/CESP

Le Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des Populations (CESP) est un des plus importants centre français de recherche et de formation à la recherche en Santé Publique.

Le CESP est rattaché à l’Inserm, l’Université Paris-Saclay, l’Université Versailles Saint Quentin.

Trois des équipes du CESP sont localisées sur le site Gustave Roussy :

Membres de l’équipe

• Brigitte Bressac de Paillerets, PhD, PharmD, Généticienne
• Aude Robert, PhD, Ingénieure de recherche
• Justine Del Rio, Technicienne et lab manager
• Julia Gilaizeau, Technicienne
• Elisa Stubbs, Doctorante
• Sophie Lachaud, Doctorante
• Assaf Alassaf, M2
• Mélanie Bennaroch, Assistante Ingénieure

Publications majeures

• Golan, T., Parikh, R., Jacob, E., Vaknine, H., Zemser-Werner, V., Hershkovitz, D., Malcov, H., Leibou, S., Reichman, H., Sheinboim, D., Percik, R., Amar, S., Brenner, R., Greenberger, S., Kung, A., Khaled, M., and Levy, C. (2019) Adipocytes sensitize melanoma cells to environmental TGF-beta cues by repressing the expression of miR-211. Sci Signal 12

Equipe Oncogenèse et progression tumorale du mélanome

Cette équipe est rattachée à l'UMR 1279 - Dynamique des cellules tumorales

Notre équipe étudie en parallèle :

UMR 1015 Immunologie des tumeurs et immunothérapie contre le cancer

Unité mixte de recherche Inserm, Gustave Roussy, Université Paris-Saclay, dirigée par le Pr Laurence Zitvogel.

Unité 981 - Prédicteurs moléculaires et nouvelles cibles en oncologie 

Dirigée par le Pr Fabrice André, l'unité mixte de recherche U981 Inserm - Gustave Roussy - Université Paris-Saclay est constituée des équipes suivantes :

UMR 1170 Contrôle transcriptionnel et épigénétique de l’hématopoïèse maligne

BIOMAPS

BIOMAPS est une unité mixte de recherche : Université Paris-Saclay, CEA, CNRS, INSERM.

Physiologie et pathologie moléculaires des rétrovirus endogènes et infectieux

L'unité de recherche est constitutée de l'équipe "Physiologie et pathologie moléculaires des rétrovirus endogènes et infectieux".

Les travaux de l'Unité, historiquement centrés sur les rétroéléments et les rétrovirus, ont significativement contribué à :