Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Etude de phase I/II évaluant l’association du Regorafenib et de l’Avelumab dans les tumeurs solides.
Etude de phade I/II ayant pour but d’évaluer l’association entre le REGORAFENIB (inhibiteur de l’angiogénèse) et AVELUMAB (immunothérapie ciblant l’axe PD1/PDL1) chez des patients avec des cancers avancés.
Cette étude de phase I/II est menée pour la première fois chez l’homme et se déroule en 2 parties (une phase d’escalade et une phase d’extension).
Cette recherche clinique a pour but de déterminer si l’olaparib est efficace et bien toléré pour le traitement des enfants et adolescents présentant des cancers avec une modification génétique dans la tumeur spécifique appelée déficience de la réparation de l’acide désoxyribonucléique (l’ADN) par recombinaison homologue (RRH).
L’utilisation de l’olaparib n’a été approuvée chez les enfants ou les adolescents par aucune autorité de santé, sauf dans des études telles que celle-ci.
Sur la base des résultats des précédentes études nationales et internationales, le groupe d'étude sur les tumeurs rénales de la Société internationale d'oncologie pédiatrique (SIOP-RTSG) a développé un nouveau protocole d'étude de phase III pour les tumeurs rénales pédiatriques et du jeune adulte: le protocole UMBRELLA SIOP-RTSG 2016.
La quantité de mutations présentes dans l’ADN des cellules tumorales, ou charge mutationnelle tumorale, permet de prédire l’efficacité d’une immunothérapie. C’est ce que démontre de manière prospective l’essai clinique, multicentrique international de phase 2 baptisé Keynote-158 dont les premiers résultats sont publiés dans le Lancet Oncology.
1er programme européen consacré aux liens entre microbiome et cancer
Gustave Roussy s’associe à 16 partenaires internationaux au sein du consortium ONCOBIOME, dont l'objectif est d’identifier les signatures microbiennes intestinales (GOMS) associées à l'incidence, au pronostic ainsi qu’à la résistance au traitement et à leur toxicité dans les cancers du sein, du colon, du poumon et du mélanome.
RET est un gene que l’on peut trouver sous une forme anormale (appelée fusion) dans 1 à 2% des cancers bronchiques non à petites cellules. Cette fusion RET rend le cancer très sensible aux inhibiteurs de RET, un nouvelle famille de traitements oraux.
Le Praseltinib est un nouvel inhibiteur de RET, pris quotidiennement pas voie orale.
Dans cet essai, seuls les patients dont le cancer est porteur d’une fusion RET pourront participer. Ces patients sont en général non ou peu fumeurs.