Membres de l’équipe Mécanismes de réparation de l'ADN et Cancérogenèse

•  Murat SAPARBAEV, Directeur de Recherche 1, CNRS;
•  Alexandre A. ISHCHENKO, Directeur de Recherche 2, CNRS;
•  Regina GROISMAN, Chargé de Recherche 1, INSERM;
•  Stéphane RICHARD, MD, Directeur d’Etudes émérite, EPHE;
•  Sophie GAD-LAPITEAU, Directrice d’Etudes, EPHE;
•  Sophie COUVE, Maître de Conférence, EPHE;
•  Flore RENAUD-PAITRA, Maître de Conférence, EPHE;
•  Sophie FERLICOT, PU-PH, Université Paris-Saclay;

Publications majeures

• Matkarimov, B.T., Zharkov, D.O., and SAPARBAEV, M.K. (2019) Mechanistic insight into the role of Poly(ADP-ribosyl)ation in DNA topology modulation and response to DNA damage. Mutagenesis, Nov 29. pii: gez045. doi: 10.1093/mutage/gez045/5646155.

Mécanismes de réparation de l'ADN et cancérogenèse.

Cette équipe est rattachée à l’UMR 9019 CNRS - Intégrité du génome et cancer.

Comité de cancérologie génito-urinaire

Responsable du Comité de cancérologie génito-urinaire

Pr Karim Fizazi

Oncologie médicale

Pr Karim Fizazi
Dr Laurence Albiges
Dr Bernard Escudier
Dr Yohann Loriot
Dr Giulia Baciarello
Dr Alina Fuerea
Dr Emeline Colomba
Dr Pernelle Lavaud

Radiothérapie / Curiethérapie

Dr Alberto Bossi
Dr Pierre Blanchard
Dr Manon Kissel

En cas de cancer localisé

Il existe plusieurs moyens pour traiter un cancer de la prostate :

La chirurgie

Le traitement chirurgical du cancer de la prostate consiste à enlever la prostate et les vésicules séminales (prostatectomie radicale). Si la chirurgie est nécessaire, elle pourra être pratiquée dans certains cas à Gustave Roussy ou à l'hôpital Bicêtre, partenaire de Gustave Roussy.

Prise en charge du cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme, avec plus de 50 000 nouveaux cas par an en France. Il s'agit le plus souvent d'un cancer d'évolution lente. Il peut être totalement silencieux ou responsable de troubles urinaires (difficulté à uriner, envie plus fréquente), de troubles de l'érection ou d'une sensation de lourdeur dans le bas-ventre.

L'agressivité du cancer est déterminée principalement par trois facteurs :