Tislelizumab et cancer avec maladie résiduelle
Suite au succès de l'immunothérapie dans des cancers métastatiques, on souhaite étendre son utilisation chez des patients avec un cancer à un stade précoce. Chez ces patients, même traité, des traces l’ADN tumoral circulant (ADNct) peuvent être détectées : on parle alors de maladie moléculaire résiduelle (MRD).
L’essai a pour objectif d’évaluer l’utilité de la détection de l’ADNct pour la surveillance des cancers et d’une immunothérapie par tislelizumab. Il y a deux groupes :
- Patients MRD(+), où de l’ADNct est détecté, traités pendant 1 an par le tislelizumab ou un placebo, puis suivi 1 an. De l’analyse de l’ADNct est réalisé en parallèle.
- Patients MRD(-), sans ADNct détecté, suivis pendant 2 ans soit avec un suivi standard, soit avec un suivi allégé mais complété par l’analyse de l’ADNct.