Félicitations aux cinq lauréats des concours CNRS/Inserm
Chaque année, le CNRS et l’Inserm organisent des concours très sélectifs pour recruter leurs nouveaux chercheurs titulaires. Cette année, parmi les cinq lauréats pour Gustave Roussy, quatre mènent déjà des recherches à l'Institut. Le cinquième, actuellement post-doctorant aux National Institutes of Health aux États-Unis, a reçu en parallèle le prestigieux financement ATIP-Avenir pour monter son équipe à Gustave Roussy et y développer ses travaux de recherche.
Brahim Arkoun – Concours Chargé de Recherche Inserm - UMR 1287.
« L’objectif de mon projet de recherche est de découvrir comment les cellules qui produisent les plaquettes sanguines changent au cours de leur développement. Améliorer les connaissances sur la formation de plaquettes fonctionnelles pourrait ainsi améliorer les pratiques de transfusion sanguine, notamment chez les patients atteints de cancer après chimiothérapie ».
Antonin Marchais – Concours Chargé de Recherche Inserm – UMR 1015.
« En combinant intelligence artificielle et biologie moléculaire, nous traquons les vulnérabilités des cancers osseux chez l’enfant et l’adolescent pour concevoir des thérapies personnalisées et offrir ainsi de nouveaux espoirs de guérison ».
Gabriel Matos Rodrigues – Concours Chargé de Recherche CNRS & Programme ATIP-Avenir – UMR 9019.
« Mon groupe de recherche étudiera les mécanismes qui contrôlent l’instabilité du génome, leurs implications pour la tumorogenèse et le développement de nouvelles thérapies anti-cancéreuses ciblées ».
Lydia Meziani – Concours Chargé de Recherche Inserm – UMR 1030.
« Mon projet de recherche fondamentale et translationnelle porte sur l’impact de la radiothérapie FLASH sur le micro-environnement tumoral pour optimiser le design d’études cliniques ».
Florent Peglion – Concours Chargé de Recherche Inserm – UMR 1279.
« Je cherche à comprendre comment les cellules cancéreuses se disséminent dans le corps lors de la progression métastatique des cancers digestifs, plus particulièrement les acteurs moléculaires qui contrôlent un tout nouveau mode d’invasion, la migration collective amiboïde ».