Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11.
En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.
Regards croisés sur le métier d’infirmière en pratique avancée avec Delphine Mathivon et Julie Mistiaen
Toutes deux incarnent une nouvelle fonction mise en place de façon pionnière à Gustave Roussy : infirmière en pratique avancée (IPA) en oncologie. Rencontre avec Delphine Mathivon, IPA parcours Toxicités, et Julie Mistiaen, IPA Ressource douleur.
Delphine Mathivon et Julie Mistiaen sont deux infirmières aux parcours professionnels complets, qui ont préféré exercer en cancérologie et ont pour cela choisi l’excellence de Gustave Roussy.
Le traitement par immunothérapie (traitement visant à stimuler le système immunitaire à lutter contre la tumeur) a démontré une efficacité parfois très importante dans un certain group des tumeurs triples négatives en situation avancée (c’est-à-dire dans le cas de métastases), mais aussi quand la tumeur est localisée, avant une chirurgie.
Néanmoins, à date d’aujourd’hui nous ne sommes pas encore en capacité d’identifier les tumeurs qui vont plus bénéficier de ce traitement et pour autant éviter utilisation d’autres traitements plus toxiques comme la chimiothérapie.
Etude de phase 1/2, en ouvert, non randomisée portant sur l’IMC‐F106C chez des patients HLA-A*02:01‐positifs atteints de cancers avancés PRAME positifs.
Cette étude est conçue pour évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique, l’immunogénicité, la pharmacodynamique et l’activité antitumorale de l’IMC-F106C, une immunothérapie, en monothérapie et en association avec un inhibiteur de point de contrôle immunitaire, une chimiothérapie ou une autre molécule immuno-mobilisatrice.
L’IMC-F106C est administré par voie intraveineuse toutes les semaines.
Le traitement standard des patients atteints d’un séminome de stade IIa/b, après orchidectomie, est une radiothérapie étendue lombo-aortique/iliaque homolatérale. La réalisation d’une chimiothérapie par 3 cures de BEP (bléomycine-étoposide-cisplatine) ou 4 cures d’EP (étoposide-cisplatine) est une alternative. Le choix optimal du traitement reste controversé car les deux modalités de traitement sont associées à une excellente efficacité mais également à des toxicités aiguës et tardives. Des stratégies de désescalade thérapeutique (i.e.
Le gédatolisib est un double inhibiteur puissant et réversible qui cible sélectivement la PI3K et la mTOR et peut restaurer la sensibilité à l'endocrinothérapie et prolonger la survie sans progression chez les patientes atteintes d'un cancer du sein avancé HR-positif, HER2-négatif, ayant précédemment reçu une endocrinothérapie. L’objectif premier est de comparer l'efficacité, mesurée par la survie sans progression, du gedatolisib en association avec le palbociclib et le fulvestrant.
Dans environ 10% des cas de cancer du rectum, la maladie est localement avancée au moment du diagnostic et nécessite un traitement dit « néoadjuvant », associant chimiothérapie et radiothérapie avant l’opération. Ce traitement diminue le risque de récidive locale ou métastatique du cancer. Toutefois, pour environ 25% de ces patients, la maladie réapparait dans les 3 ans suivant la chirurgie, malgré le traitement néoadjuvant.
Certains modulateurs de l'angiogenèse, agissant en particulier sur le VEGF, pourraient être utilisés en combinaison avec diverses stratégies immunothérapeutiques pour potentialiser l’infiltration des cellules immunitaires et l'administration de médicaments anticancéreux dans les tumeurs.
Chez l’enfant, l'objectif de cette étude de phase I est d'identifier la dose recommandée pour l'étude de phase II de spartalizumab (immunothérapie) en association avec une dose diminuée de pazopanib (VEGFR).