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Les chercheurs souhaitent découvrir si l'administration du traitement à l'étude appelé V940 avec le Pembrolizumab (immunothérapie) peut empêcher la réapparition du Carcinome Urothélial Infiltrant le Muscle après l'intervention chirurgicale chez des patients à haut risque de rechute. Le V940 est conçu pour aider le système immunitaire du patient à attaquer son cancer.
Le traitement recommandé en première intention pour les cancers des voies biliaires est une chimiothérapie qui comprend deux médicaments, le cisplatine et la gemcitabine, d’où son appellation « CISGEM ». Il est aussi possible de combiner cette chimiothérapie avec un troisième médicament, le durvalumab, dont les récents essais cliniques ont démontré un bénéfice supplémentaire par rapport au CISGEM seul. C’est un traitement efficace dans la majorité des cas, qui permet de contrôler le développement de la maladie pendant plusieurs mois.
L’étude évalue le TG4050, un produit d’immunothérapie individualisé pour chaque patient, basé sur la souche atténuée non-réplicative du virus de la vaccine (MVA), et encodant pour les néoantigènes tumoraux résultant de mutations identifiées dans le mutanome tumoral de chaque patient.
Etude de phase 3, randomisée en ouvert, évaluant le MK-2870 versus doublets de platine chez des participants atteints d'un cancer avancé du poumon, non à petites cellules (CPNPC) non épidermoïde, avec mutation EGFR qui ont progressé sous inhibiteurs antérieurs de la tyrosine kinase de l'EGFR.
Objectifs principaux : comparer le MK2870 à des thérapies doublets de platine pour la survie globale et la survie sans progression.
L’étude clinique SGR-2921-101 est une étude de phase I de première administration chez l’homme, en ouvert, à escalade de dose, en monothérapie, en deux bras,
conçue pour évaluer la sécurité et la tolérance du SGR-2921 en monothérapie, et pour en identifier la dose recommandée pour la phase II (DRP2), chez des patients atteints de leucémie aiguë myéloblastique (LAM) en rechute ou réfractaire (r/r) ou d’un syndrome myélodysplasique (SMD).
Cette recherche s’adresse aux patients atteints de corticosurrénalome de stades localisés (I, II et III) qui ont bénéficié d’une résection chirurgicale complète mais qui présentent un haut risque de récidive de la maladie, déterminé par un pourcentage important de cellules tumorales en prolifération à l’examen de la tumeur opérée.
L’objectif de cette recherche est de déterminer la meilleure stratégie de traitement postopératoire, mitotane seul ou mitotane associé à la chimiothérapie par étoposide/cisplatine en terme de risque de récidive de la tumeur en post-opératoire.
Il s’agit d’une étude de phase III, randomisée, multicentrique, internationale, en ouvert, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du tinengotinib oral par rapport au choix du médecin (FOLFOX ou FOLFIRI) chez des patients atteints d’un CCA porteur d’une modification du FGRR, réfractaire à la chimiothérapie et aux inhibiteurs du FGFR/en rechute.
Environ 200 patients seront inclus dans cette étude de phase III.
L’étude porte sur un médicament expérimental, appelé REGN5837, en association avec un autre médicament expérimental, l’odronextamab. L’objectif de l’étude est de déterminer dans quelle mesure les médicaments à l’étude sont sûrs et tolérables, et de définir la dose recommandée pour la phase 2. L’étude porte sur des patients atteints d’un lymphome non hodgkinien à cellules B agressif, en rechute ou réfractaire.
L’étude s’intéresse à plusieurs autres questions de recherche, notamment :