Tout n’est pas rose...
parce que des milliers de patientes sont en situation d’échec thérapeutique
La recherche épigénétique
Les équipes du professeur Fabrice André de Gustave Roussy ont découvert que certaines femmes qui développent une résistance aux hormonothérapies présentent une mutation du gène KMT2C.
Ce gène modifie les protéines qui enrobent l’ADN et empêche l’ADN de s’exprimer correctement. Ce gène serait donc en partie responsable de la résistance aux traitements hormonaux.
Objectifs
- Identifier de nouveaux médicaments qui bloquent l’action du gène KMT2C
- Analyser les cancers résistant aux hormonothérapies pour voir s’il existe d’autres protéines mutées qui empêchent les gènes de s’exprimer
- Étudier l’ensemble des protéines (histones) des cancers du sein métastatiques pour identifier si d’autres protéines présentent des caractéristiques anormales
- Lancer des essais cliniques pour évaluer l’efficacité des médicaments modulant l’épigénétique
Les bénéfices pour les patientes
- Bénéficier de nouvelles alternatives thérapeutiques à l’hormonothérapie
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