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Gustave Roussy
114, rue Édouard-Vaillant
94805 Villejuif Cedex - France

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Tel : +33 (0)1 42 11 42 11

Urgences

Avant toute venue aux urgences, il est impératif de téléphoner au (0)1 42 11 42 11. En cas de venue sans appel préalable, vous serez transféré dans un autre hôpital.

GUSTAVE ROUSSY
1er centre de lutte contre le cancer en Europe, 4 000 professionnels mobilisés

CSET 3524

Les gliomes de bas grade pédiatriques (PLGG) constituent un groupe hétérogène de tumeurs cérébrales gliales de grade I et II qui sont fréquentes chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte jeune. Ils représentent 30% de tous les diagnostics histologiques de tumeurs cérébrales en pédiatrie. Cette tumeur bénigne peut se localiser à tout niveau au niveau cérébral ou spinal. La survie globale à 10 ans de ces PLGG est à 90%. Un certain nombre de ces patients sont efficacement traités par chirurgie seule.

CSET 3465

Cette étude a pour objectif de connaître les effets du produit à l’étude INBRX-109, sur les patients souffrant d’un chondrosarcome et sur leur système immunitaire et leur cancer. Cette étude est menée afin de comprendre si l’INBRX-109 est efficace contre le chondrosarcome conventionnel non résécable ou métastatique (cancer des os et des articulations) et dans quelle mesure ce produit est sûr.

CSET 3516

Etude ouverte d'escalade de dose et d'expansion de dose visant à déterminer la sécurité, la tolérance, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l'efficacité préliminaire de l'INCB123667 lorsqu'il est administré en monothérapie chez des participants atteints de tumeurs solides avancées ou métastatiques.

Des biopsies ou un recueil de tissu tumoral préalablement archivé obligatoires sont prévues pour tous les patients de l’étude.

 

CSET 3394

NBTXR3 est une nanoparticule inerte de 50 nm constituée d’un cristal d’hafnium qui va interagir de manière synergique avec les rayons X de la radiothérapie permettant ainsi  une augmentation de la dose absorbée au sein des cellules tumorales et donc une augmentation des lésions  de l’ADN aboutissant à la mort des cellules cancéreuses.Cette nanoparticule  étant injectée directement en intra-tumoral, à l’intérieur de la tumeur, a ainsi une action uniquement localisée au niveau de la tumeur lorsque celle-ci est irradiée, et n’augmente donc pas le risque de toxicités sur les tissus sains.

CSET 3222

Un des risques principaux de la chirurgie thyroïdienne et parathyroïdienne est la paralysie des nerfs récurrents (paralysie récurrentielle) qui assurent la mobilité des cordes vocales (CV). Cette complication survient chez 5 à 10% des patients et est responsable d’un trouble de la voix qui peut être très handicapant. Il est suggéré dans les recommandations de réaliser en pré et post-opératoire une nasofibroscopie des CV (examen de référence).

IGR 3404

Tout patient recevant des médicaments de thérapeutiques innovantes (MTI) à savoir des cellules qui ont été génétiquement modifiés se verront proposer ce protocole. L’objectif de ce protocole est d’évaluer des marqueurs prédictifs de réponse au MTI afin d’en améliorer leur efficacité. Du sang sera prélevé de façon rapproché et des biopsies de la tumeur (si celle-ci est évidemment facile d’accès) seront réalisées avant l’injection de MTI et 1 à 2 semaines après.

CSET 3546

Cette étude a pour objectif de faire une première évaluation clinique d’une nouvelle séquence d'acquisition d'images 3D du sein. Cette nouvelle technique pourrait réduire le temps de compression du sein et la gêne occasionnée. Elle pourrait également réduire les éléments indésirables sur les images pouvant nuire à l’interprétation, et améliorer la visibilité des structures anormales du sein pour une meilleure détection des anomalies. Les tests du prototypes ont déjà démontré une sécurité radiologique et mécanique et les performances de qualité d'image non clinique.

CSET 3446

Plusieurs études récentes ont permis de démontrer que le fait de pouvoir détecté dans le sang de l’ADN tumoral (ou ctDNA) après un traitement complet de cancer du sein était associé à un haut risque de rechute métastatique à court ou moyen terme. L’étude TRAK-ER propose chez des patientes suivies pour un cancer du sein RH+/HER2- à haut risque de rechute une surveillance régulière du ctDNA et avec en cas de positivité une randomisation entre la poursuite du traitement standard ou bien un traitement par Fulvestran-Palcociclib, le standard actuel en cas de rechute métastatique.

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